Plus de 800 postes de psychologues sont restés vacants cette année !

Ce manque a des conséquences directes pour les élèves les plus fragiles et pour les enseignant.es qui se retrouvent seul.es.

Comme à son habitude, l’Education Nationale demande à ses personnels de palier aux difficultés en allant éteindre le feu à droite et à gauche, en répondant aux sollicitations en dehors de leur secteur...
Le meilleur moyen pour fuir les psychologues dont les tâches sont étendues aux secteurs désertifiés et qui se retrouvent submergé.es.

La FSU-SNUipp ne cesse d’alerter le ministère sans aucune réponse.

La FSU-SNUipp appelle donc et soutiendra les psy-en qui refuseront désormais d’intervenir en dehors de leur secteur ou sur des écoles supplémentaires.
Il en va de leur efficacité dans toutes les dimensions de leurs missions mais aussi de leur santé.

C’est une première solution pour ne pas continuer de les voir quitter le navire et endiguer "l’hémorragie"

Dans l’académie de Poitiers, ce sont 31 postes sur 105 qui restent vacants après le mouvement. L’appel aux contractuel.les début juillet ne pourra pas couvrir tous ces manques.
En Charente-Maritime, 5 postes ne sont pas encore pourvus pour la rentrée 2024.

Nous restons aux côtés des collègues qui souhaitent par exemple écrire au Dasen ou à la Rectrice pour exiger une recherche de solutions à cette problématique et refuser de perdre la boussole en étant partout à la fois.
Un modèle de courrier pourra leur être proposé.

Le collectif rend plus fort ! défendons notre école, nos métiers, nos élèves...

On manque de psychologues scolaires !!!

On manque de psychologues scolaires !!!